Rencontre avec Tara Brach
Je suis encore sous le charme de ma rencontre avec Tara Brach, hier soir. Elle donnait un atelier-conférence auquel j’ai assisté puis nous avons pu dîner ensemble, au premier étage d’un petit café parisien.
Je suis encore sous le charme de ma rencontre avec Tara Brach, hier soir. Elle donnait un atelier-conférence auquel j’ai assisté puis nous avons pu dîner ensemble, au premier étage d’un petit café parisien.
Nathacha Appanah nous offre un regard tolérant – mais sans naïveté aucune – sur le monde qui nous entoure. Elle aborde avec une délicatesse rare des thèmes de société pourtant ardus : le racisme, la parité, l’éducation, la discrimination sociale…
La première fois que j’ai rencontré Sharon Salzberg, c’était en 2015. Sharon était venue en France à l’occasion de la sortie de son livre L’amour qui guérit. Je l’ai interviewée quelques heures avant qu’elle ne donne une conférence publique, organisée par l’École occidentale de méditation.
En relisant Laterna Magica, l’autobiographie du grand réalisateur suédois Ingmar Bergman, j’y remarque une référence. Ingmar Bergman mentionne, au demeurant avec une certaine condescendance, un ouvrage écrit par l’actrice Liv Ullmann. Je me mets à la recherche de ce livre, le trouve d’occasion en format poche et en commence aussitôt la lecture…
La méditation nous prédispose à plus de gentillesse envers les autres. Cela ne se traduit pas seulement par des idées mais bien par des actes plus compatissants.
Mais encore plus intéressant, les tibétains utilisent le même mot pour désigner la compassion envers les autres et la compassion envers soi. Pour eux, traditionnellement, il n’y a pas de différence entre l’amour de soi et l’amour des autres…
À chaque fois que nous regardons le monde avec notre cœur, nous pouvons nous laisser étonner, et même émerveiller. Nous nous émerveillons parce que nous sommes merveilleux. C’est la merveille en nous qui est capable de voir la merveille du monde…
Samedi matin de septembre. Je suis en train de méditer. Un rayon de soleil entre dans la pièce suivi d’un